La start-up d’IA la plus en vogue en France poursuit la stratégie dépeinte par l’un de ses fondateurs et actuel dirigeant, Arthur Mensch, à savoir “apporter l’intelligence artificielle générative partout”. Et pour ce faire, quoi de mieux que de multiplier les partenariats avec des entreprises technologiques de renommée internationale. Dernière en date à succomber au charme de Mistral AI : Databricks.
Edouard Nattée a développé une expertise approfondie du comportement des consommateurs online.
La startup Klark basée à Bordeaux annonce lever 1,7 million d’euros ce 21 mars pour développer une intelligence artificielle dédiée à la relation client en ligne. Les trois cofondateurs, des anciens du e-commerce, entendent mener la course sur un segment soumis aux géants de l’IA et aux règlements européens.
Ayant fait de l’économie numérique, sa priorité, l’Autorité de la concurrence s’est naturellement penchée sur le marché de l’IA.
Alors que les investissements en intelligence artificielle sont promis à des sommets vertigineux, à l’image de la capitalisation de Nvidia qui en conçoit les principaux semi-conducteurs, et de celle d’Open IA à l’origine de ChatGPT, la concurrence dans la course aux larges modèles de langage a fait apparaître un coureur tricolore : Mistral AI.
Comment l’IA générative révolutionne le e-commerce aussi bien dans la création de contenus, marketing digital que dans la relation client et les fiches produits, les assistants virtuels (bots), la recherche sur Internet… pour viser l’amélioration de la performance ? Quelles sont les limites actuelles de l’IA ? Comment le feed-back client apporte plus que jamais un plus aux commerçants et e-commerçants ?
Plus de 900 sites affichaient les 19 millions de mots de passe en texte brut de 125 millions d’internautes. Si le quart a corrigé la faille provoquée par des instances Firebase mal configurées, le reste n’a pas réagi.
OpenAI pourra utiliser les contenus du Monde pour entrainer ses IA et alimenter ChatGPT, le journal touchera de l’argent en contrepartie.
OpenAI pourra utiliser les contenus du Monde pour entrainer ses IA et alimenter ChatGPT, le journal touchera de l’argent en contrepartie.
Selon un rapport de la Commission de l’IA, avec un plan d’action ambitieux, la France pourrait ratrapper son retard en la matière.