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1) WebDev
Sans ça, un GrowthHacker c’est juste un marketeur. Il existe foule d’outils aujourd’hui pour les startups ou tout autre business souhaitant utiliser ces technos, pour éviter de coder : Swipes, Buffer, HootSuite, Evernote, DropBox, des foules de solutions emailing et au milieu de tout ça on peut mettre Zapier, que je recommande vivement. Mais au bout d’un moment, bon gré mal gré, si on sait pas un peu mettre les mains dans le code, aller se pluger sur l’api de twitter,, générer automatiquement en shell des copies d’écran pour rediffuser automatiquement les travaux des nouveaux followers ou plugger tout ça sur le système de collecte de son site, on fini par être bridé et le GrowthHacking rime avec développement agile et itération à cycles courts.
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2) DigitalMarketing
Bien sur, un dév un peu autiste (on en connait tous et on les adore hein ;)) aura du mal. Il faut savoir rédiger du contenu percutant adapté à chacun des canaux de communication de l’entreprise, être capable de bidouiller des outils graphiques pour au moins pouvoir poster rapidement sans attendre que le graphiste soit dispo, et être capable d’analyser son audience afin de pouvoir lui parler avec ses mots. Et aujourd’hui l’importance de cette fibre psychologique est décuplée avec l’arrivée de l’InboundMarketing qui rallonge le cycle de conversion, permet de récolter plus de données et de personnaliser les messages sur de nombreux critères que la plus intelligente des machines (et je sais de quoi je parle) actuelle ne pourra utiliser pour générer automatiquement du contenu. Il faut avoir cet esprit d’analyse.
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3) ABTesting
Est-ce qu’ils vont préférer le jaune ? Une couleur chaude ? Un bleu et noir plus techno corporate ? Maaaa foi comme on dit chez nous à Marseille. Qui sait … Alors la solution vous la connaissez tous : l’ABTesting. En mode itératif rapide. Utiliser par exemple twitter comme je l’ai fait pour le titre de ce sujet ( au total 15 citations ou RT sur 400 abonnés ) pour tester, ou des campagnes adwords pour ceux qui ont du budget, et choisir le titre qui se dégage, la landing page avec le plus faible bounce rate, tout ça pour parler des …
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4) KPI’s
ou métrics comme disent d’autres. Les unités des objectifs que l’on cherche à atteindre. Des quantités, des rations à augmenter à diminuer : taux de conversion, CA, nombre de visiteurs, panier moyen, taux de rétension, durée de vie d’un client, taux de désabo, etc … Plus ils sont précis et plus les process mis en oeuvre dans ces métrics sont rigoureux, lors des itérations d’ABTesting, plus grandes sont les chances de succès.
Comme on le dit souvent, aujourd’hui, la réussite, si l’idée de départ se doit tout de même d’être à même de séduire un marché donné, tient plus aux méthodes qu’à l’idée en elle même, les licornes sont là pour le montrer car la majorité ont repris des idées ailleurs en mieux. Même Facebook à ses deux potes… 😉
Growth’ment votres
